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Happiness Therapy – la revue de 10h
La vie réserve parfois quelques surprises… Pat Solatano (Bradley Cooper) a tout perdu, sa maison, son travail et sa femme. Il se retrouve même dans l’obligation d’emménager chez ses parents. Malgré tout, Pat affiche un optimisme à toute épreuve et est déterminé à se reconstruire et renouer avec son ex-femme. Rapidement, il rencontre Tiffany (Jennifer Lawrence), une jolie jeune femme ayant eu un parcours mouvementé. Tiffany se propose d’aider Pat à reconquérir sa femme, à condition qu’il lui rende un service en retour. Un lien inattendu commence à se former entre eux et, ensemble, ils vont essayer de reprendre en main leurs vies respectives.
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Happiness Therapy, une bonne comédie de David O. Russell
VivaLaCinema.net – par Claire Faverial
publié le lundi 4 février 2013
VivaLaCinema a vu Bradley Cooper dans Happiness therapy. Claire a aimée cette comédie romantique beaucoup plus profonde qu’il n’y paraît
… Voilà le pitch, qui pourrait aussi bien basculer dans le roman de gare, comme dans une bonne comédie sociale. Je prends sans hésitation la voix du bon film. Ce qui est formidable ici, c’est que le réalisateur a pensé à des vrais personnages, ils ne sont pas manichéens, ils ont de l’épaisseur, de la drôlerie, de l’émotion, des phases de contradiction …bref, ils sont très humains et bien dans leur époque. Certes, il est facile d’oser dire que le personnage principal n’est pas d’un seul bloc lorsqu’on l’a affublé d’un problème de bipolarité. Pat, va tout au long du film évolué, parfois sous la contrainte de Tiffany, de son père, de son thérapeute ou alors aussi grâce à ses propres ressources.
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De Niro en père aimant, mais déboussolé dans ses repères et agissant toujours sur la corde raide maîtrise bien son rôle. On s’attend souvent à des débordements possibles, mais la force de David O. Russell est de driver tout ce petit monde d’une main de maître pour nous tenir en haleine jusqu’à la fin. Évidemment, la fin est assez prévisible, d’autant plus que le titre nous permet de croire à une hapiness therapy, mais après tout, un peu de bonheur ne nous fera pas de mal.
Les 3 coeurs du cercle : Happiness Therapy
Canal + Le Cercle (extrait) – animé par Frédéric Beigbeder
émission du vendredi 1 février 2013
Le Cercle de Frederic Beigbeder et ses chroniqueurs lance le debat critique sur les films sortant au cinema chaque vendredi à 22H30
Totalement fous alliés
Liberation.fr – Par JULIEN GESTER le 29 janvier
Julien Gester a pour le moins le clavier « aigrelet ». On a l’impression qu’Il a « quand même aimé le film » mais qu’il faut bouder son plaisir. Jolie bipolarité de l’écriture…
Seule la comédie américaine sait conférer assez de grâce à quelques arabesques gauches de deux acteurs falots pour nous donner à croire, le temps d’une scène, que la paix de nos dérèglements se niche dans leur chorégraphie.
“Happiness Therapy”: une citronnade psycho-romantique bien trop chimique
LesInRocks.com – par Jacky Goldberg le 29 janvier 2013
Jacky Goldberg n’a pas été convaincu (il suffit de lire le titre).
mais :
Elle s’appelle Jennifer Lawrence, on l’avait découverte dans Winter’s Bone il y a deux ans, puis aimée dans Le Complexe du castor, X-Men – Le commencement et Hunger Games, et elle est sans nul doute la seule nommée du lot à mériter l’oscar.
et poursuit
Avec son sourire poupin qui masque une détermination à toute épreuve, elle a la classe d’une Audrey ou d’une Katharine Hepburn, dont elle incarnerait d’ailleurs une forme de fusion miraculeuse
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La voir
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suffit à comprendre qu’elle est l’une des plus douées, sinon la plus douée, de sa génération.
flatteur pour l’égo !
Happiness Therapy
Canal+ – Rencontre de cinema laurent Weil
Happiness Therapy : deux dépressifs en folie
LeFigaro.fr : Emmanuèle Frois le 29 janvier 2013
Emmanuèle Frois est inconditionnelle
Happiness Therapy est une petite pilule du bonheur, une histoire d’amour décalée et tendre qui n’aurait pas une telle intensité sans le couple alchimique formé par Bradley Cooper et Jennifer Lawrence.
Bradley Cooper : «J’irai aux Oscars avec ma mère»
LeFigaro.fr : Emmanuèle Frois le 29 janvier 2013
« Il est formidable de justesse sous les traits d’un trentenaire bipolaire dans Happiness Therapy de David O. Russell (sur les écrans mercredi 30 janvier). Un contre-emploi qui marque un tournant dans sa carrière. Interview en français avec le plus charmant des hommes. »
A lire pour les beaux yeux de Bradley
Match des critiques ciné : Irez-vous voir Happiness Therapy ?
LEXPRESS.fr : Par Thomas Baurez, Christophe Carrière, Fabrice Leclerc, Eric Libiot et Joséfa Lopez – le 28/01/2013
Rapide tour de table autour de Happiness Therapy
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